Dans ce billet, il sera dit que la dette se paie en nature. Et, effectivement, même parés de ses nouveau atours dit dématérialisés, notre productivisme frénétique, encore accéléré par ce « nouveau principe », fait de notre planète sa prostituée de service qui paie de sa nature les frais de notre « confort » avec un salaire inexistant. Et ce proxénétisme légalisé fait des ravages du nord au sud en l’espèce d’une plus-value commercialisée. « La dette se paie en nature » a été écrit par Susan George et publié dans « Manière de voir », bimestriel réalisé par Le Monde Diplomatique, dans le numéro 173 intitulé « Faut-il payer la dette ».
Susan George est l’auteure du livre « L’effet boomerang », consacré à la dette du tiers-monde.